J’étais la convive de Dieu ou l’hôte d’un sacré visiteur ?
De l’une ou de l’autre, j’aurais aimé y étendre ma présence et mon hospitalité.
Qui tournerait le dos à l’autel divin si la promesse d’accepter le sacrifice y est faite ? Qui s’éloignerait de la porte du Pardon si le poids des péchés est pour longtemps écrasant ?
Je respirais un si bel air régnant pour ce mois, soirées et journées, et je fus très heureuse de profiter de leurs grâces.
Je vous souhaite une joyeuse fête d’Al Fitr 1432-2011.